Sans doute, les chiffres, les images, les articles, les analyses et les reportages que nous découvrons à la télévision, dans les journaux, sur le Web et sur les réseaux sociaux donnent du frisson dans le dos. Ce qui se passe, non seulement dans les grands pays du monde, mais également dans notre région, doit véritablement nous interpeller.
Si à Maurice, à la faveur d’une bonne gestion de la pandémie par l’Etat, nous n’enregistrons ces jours-ci que des cas positifs importés de la COVID -19, il va sans dire que dans la région, des pays comme la Réunion, les Seychelles, Madagascar, Maldives, la situation continue de se détériorer. Avec à la fois des cas importés et locaux. A tel point qu’on puisse penser que ces pays vivent une deuxième vague.
Quand on parle de pandémie, on pense immédiatement aux effets, aux conséquences extrêmement graves qu’elle engendre. Perte de vie, lock down, fermeture des frontières, contrôle de la liberté de circuler, de vivre normalement, crise économique, crise sociale, pénurie de produits alimentaires et j’en passe. Inévitablement, tout un pays est mis à genou. C’est l’hécatombe.
Evidemment, après avoir vécu les trois mois les plus pénibles de notre histoire, ce serait vraiment surprenant si un seul Mauricien veuille revivre une telle expérience. Alors, comment se protéger ? Comment protéger nos familles, nos amis et notre population ? Comment protéger notre pays ? Regardons attentivement et comprenons bien le contenu de ce clip où le Dr Preeatum Ancharaz, Néphrologue, attaché à l’hôpital de Flacq, à qui nous voudrions exprimer nos sincères gratitudes, donne des précieux conseils. Mettons-les en pratique. Partageons-les autour de nous.
Ce clip, un projet communautaire, préparé par EST PRESSE, votre journal communautaire en ligne maintenant, a été rendu possible grâce au soutien de la prestigieuse firme, Alteo que nous remercions vivement.
Soyons discipliné. Ensemble, combattons la COVID -19 !
