Bonne nouvelle pour les élèves du Modern College à Flacq et le Loreto College Curepipe dans la ville lumière. Un cas de COVID -19 dans chacune de ces institutions oblige, les classes ont subi une interruption : congé de deux jours pour le Modern College et trois jours pour le Loreto College de Curepipe. Ainsi, les classes reprennent demain au collège de Flacq alors que les élèves du Collège Lorette de Curepipe devront patienter un jour de plus. C’est donc vendredi que l’institution Curepipienne opérera normalement. Evidemment, la direction des deux institutions s’est donnée corps et ^me pour s’assurer que le nettoyage et la désinfection des bâtiments soient faites de manière professionnelle. Car, il y va de la santé de tous ceux qui les fréquentent et même des visiteurs. La direction des deux institutions s’efforce également de demander à tous les élèves, les membres du corps enseignant et non enseignant de suivre rigoureusement les gestes barrières, de respecter et de faire respecter les normes sanitaires pour que les activités scolaires puissent se poursuivre dans les meilleures conditions possibles. Il faut rappeler qu’un élève de chacune de ces deux institutions avait été testé positif au coronavirus COVID -19 lundi dernier. Cette situation avait quelque peu semé la panique à la fois dans le camp des élèves, les parents et du personnel. On craignait même le pire dans les deux collèges. Mais, fort heureusement, on a vite compris que la situation n’est pas aussi compliquée qu’on ne le pensait.
Par ailleurs, ce matin, le communiqué du ministère de la Santé a annoncé 74 nouveaux cas de contamination dans le pays. De ce chiffre, 5 patients ont été transporté à l’hôpital ENT de Vacoas pour y recevoir des soins intensifs. Concernant la vaccination, les chiffres atteints sont, pour le moins encourageants : 660,923 personnes ont reçu une première dose du vaccin alors que 539,792 se sont fait administrés les deux doses. Maurice doit forcément se situer parmi les pays où une grande partie de la population a accepté de se faire administrer les vaccins. Cela, malgré la mobilisation et la farouche opposition de certaines personnes, dont des politiciens ou des pseudos politiciens qui n’ont sans doute pas mesurer le danger qui nous guette.
