Un concours de peinture au nom de la nature. C’est le défi que s’est lancé le Rotary Club de Phoenix depuis un certain temps déjà. Initier les enfants à aimer et respecter la nature. Les conscientiser sur l’importance de la nature. Voilà comment ces valeureux Rotariens de Phoenix, menés par leur président, Robin Appadoo, veulent faire les enfants se comporter face à la nature. Une initiative des plus louables, qui mérite certainement d’être saluée tout bas.
Le président du Club Service de Flacq, M. Robin Appadoo qui est un peu la cheville ouvrière derrière ce louable projet, demande aux enfants de faire vite, puisque la date finale pour l’envoi des œuvres est le 30 de ce mois. A eux de profiter de ces deux dernières semaines de vacances pour faire parvenir leurs tableaux à travers le réseau social, Facebook au Rotary Club de Flacq.
Les candidats sont répartis dans deux catégories : 8 à 11 ans et 12 à 18 ans. Les récompenses sont on ne peut plus alléchantes puisque des laptops, des tablettes et des livres attendent les meilleurs. Pour que tout se fait de la manière la plus juste qui soit, les organisateurs ont fait appel à trois juges, deux de Maurice et un de la Grande Péninsule.
Evidemment, en raison de la pandémie, pour éviter tout risque de contamination, le Rotary Club de Phoenix a choisi de demander aux participants de photographier leurs œuvres avec leur nom et âge lisiblement écrits au préalable, avant de les poster à travers Messenger sur la Page Facebook du Rotary Club de Phoenix.
Dans une déclaration qu’il nous a faite, M. Robin Appadoo devait expliquer que l’objectif derrière cette compétition est de faire les enfants prendre conscience de l’état de la nature pour éventuellement l’améliorer et également la protéger contre les dangers dont elle doit faire face perpétuellement. Nous nous attendons à avoir une cinquantaine de participants à ce concours. Souhaitons de tout cœur que cette compétition engendre une véritable prise de conscience qui permettra à la nature dans notre pays de retrouver ses droits. Des droits qu’elle mérite amplement !
